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Le marché immobilier québécois : une croissance qui défie les attentes en 2025

Le marché immobilier du Québec continue de surprendre en ce printemps 2025, affichant une vigueur remarquable, surtout dans les régions de Montréal et Québec. Alors que plusieurs grandes villes canadiennes connaissent un ralentissement, le Québec se démarque par une hausse notable des ventes et des prix (Journal de Montréal, 6 mai 2025).

Hausse des transactions et des prix

En avril 2025, Montréal a enregistré plus de 5100 transactions, soit une hausse de 10 % par rapport à l’an dernier. Les prix suivent la même tendance : le prix médian des maisons unifamiliales atteint désormais 625 000 $ (+9 %), tandis que celui des copropriétés grimpe à 424 500 $ (+6 %) (APCIQ, rapport avril 2025).

La région de Québec n’est pas en reste, avec une augmentation de 12 % des ventes et une flambée des prix. Les maisons unifamiliales y affichent un prix médian de 450 000 $, en hausse de 18 % sur un an, et les copropriétés atteignent 310 000 $ (+13 %) (Journal de Québec, 5 mai 2025).

Pourquoi une telle effervescence?

Trois facteurs expliquent cette dynamique :

• Rareté des propriétés : L’offre diminue rapidement, avec jusqu’à 35 % de moins de propriétés à vendre dans certaines catégories (APCIQ, 2025).
  

• Assouplissement des règles hypothécaires : Les récentes mesures facilitant l’accès au crédit attirent de nouveaux acheteurs (Entrevue avec Charles Brant, APCIQ, 4 mai 2025).
  

• Baisse des taux d’intérêt : Les taux plus bas rendent l’achat d’une propriété plus accessible, stimulant la demande (Revue spécialisée Immobilier Québec, mai 2025).

À quoi s’attendre?

Cette situation avantage les vendeurs, qui profitent d’un marché tendu et de prix élevés. Pour les acheteurs, la compétition est forte et l’inventaire limité, même si les conditions de financement sont plus favorables qu’auparavant.

Si la tendance se maintient, la hausse des prix pourrait se poursuivre dans les prochains mois, surtout dans les grands centres urbains. L’évolution du marché dépendra toutefois des futures décisions sur les taux d’intérêt et des politiques d’accès à la propriété (Journal de Montréal, 6 mai 2025).

En résumé : Le marché immobilier québécois reste en pleine effervescence, porté par une forte demande, une offre limitée et des conditions de financement avantageuses. Un contexte idéal pour les vendeurs… mais qui représente un défi de taille pour les acheteurs!

Sources

• Journal de Montréal, « Le marché immobilier québécois en pleine croissance », 6 mai 2025.

• Journal de Québec, « Hausse spectaculaire des prix immobiliers à Québec », 5 mai 2025.

• APCIQ, Rapport mensuel sur le marché immobilier, avril 2025.

• Entrevue exclusive avec Charles Brant, directeur du Service d’analyse de marché, APCIQ, 4 mai 2025.

• Revue spécialisée Immobilier Québec, « Impact des taux d’intérêt sur le marché immobilier », mai 2025.